Souvenirs de la guerre d´Espagne: dite de l´indépendance, 1809-1813

Antoine Laurent Appolinaire Fée

Antoine Laurent Appolinaire Fée (1789-1874). Souvenirs de la guerre d´Espagne: dite de l´indépendance, 1809-1813, Paris, 1856

De Salamanque a Tolède 

Pág. 187

Nous prîmes la route d´Avila par les Arapiles…

Pág. 191

Toujours marchant en avant, j´arrivai assez tard à un petit villaje que je crois être Berrocal, situé sur les derniers versant de la Sierra de Francia, ayant Alba de Tormes

Pág. 195

En quittant Piedrahita…

Pág. 196

en quittant Santa María del Arroyo 

En arrivant à Avila…

XVII

Pág. 199

L´Adaja était-elle gelée, il accourait patiner sur le glace, …

Pág. 201-202

On trouve sur une de ses places deux masses de grès, grossièrement sculptèes, dans lesquelles on voit tout ce qu´on veut y voir: éléphants, ours ou toureaux; on a été jusqu´á soutenir que c´étaient des hippopotames. Au reste, ces bloqus deviennent de plus en plus informes, constamment exposés qu´ils sont aux injures des enfants, lesquels, chaque jour, en enlèvent quelques fragment. 

XVIII

…et je me mis en route le 8 janvier 1813, por Tolède

Pág. 203

Le premier jour nous allámes coucher a Nava el moral, petit villaje de la serranía de Avila, afin de trouver une meilleure route, nous avions traversé trois lieues de desert. Un bloc de grès, representant les mêmes animaux que ceux d´Avila, s´etait montré à nous après deux heures de marche. Le lendemain le convoi voulut atteindre Berraco; mais, en nous élevant davantage, les neiges, de plus en plus abondantes, devinrent un obstacle sérieux que ne purent vaincre les caissons. 

Berraco, ou, pour être plus exact, El Berraco, est entouré de montagnes assez bien boisées, et le coup d´œil en est assez pittoresque.